La BD

Ici vont les Morts raconte l’histoire de Sunday une petite fille d’une dizaine d’années et de sa poupée Mojo.

Mais si vous cherchez des aventures magiques et drôle dans un monde coloré comme un paquet de bonbons, passez votre chemin.
Ici vont les Morts parleras de vengeance, de ce qu’on est prêt à sacrifier pour l’obtenir.
Du mal nécessaire et de celui qui l’est moins.
Des choix qui ne sont pas toujours les bons ou, parfois, de ne pas avoir le choix tout court.
Des erreurs que l’on fait, que l’on choisit de corriger, ou pas.
En d’autres termes, dans Ici vont les Morts, vous trouverez tôt ou tard :

-Des zombis (humains, oiseaux, chiens, insectes, tous plus ou moins décomposés)
-Des violations de sépultures.
-De la magie noire.
-Des demoiselles et des messieurs nus.
-Des loup-garous. Qui sont aussi les demoiselles et messieurs nus.
-Des blasphèmes, jurons et autres noms d’oiseaux.
-Des actes de moralités douteuses, autant des gentils, que des méchants et des poupées
vaudous qui ne sauraient pas ce qu’est une moralité si on leur tapait dessus avec.
-De l’humour noir. Très noir.

Veuillez ne pas faire lire cette histoire à des enfants, des innocents et des amateurs de petites fleurs et licornes roses.
Merci

L’auteur

Valériane Duvivier a déclaré à dix ans qu’elle serait ballerine, clown ou dessinatrice de BD. Plus de vingt ans plus tard, elle s’est décidée pour la carrière de dessinatrice.

Ses influences sont surtout du dessin animé japonais et des mangas (Naoki Urusawa, Katsuhiro Otomo, Studio Ghilbi), la bande-dessinée franco-belge, Tim Burton (comme si ça ne se voyait pas), Brian Froud, Paul Kidby, etc etc.

Après quelques années en école d’art (Ecole Emile Cohl in Lyon and Supinfocom in Valenciennes), elle a commencé à travaillé dans le jeu vidéo pour enfant avec du chara design, des illustrations, et du rose.

Beaucoup, beaucoup de rose.

Afiun de tenir le coup, elle a commencé à gribouiller des poupées vaudous armées de grands couteaux de boucher et les adorables petites horreurs ont vite prit son carnet de croquis et son cerveau d’assaut.

Valériane veut aussi mentionner que malgré le coté sombre et glauque de la BD, elle n’est pas dépressive, ni suicidaire ou folle. Elle a juste tendance à parler d’elle à la troisième personne quand elle écrit des biographies sur ses sites.

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